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• 1930, Partial breaking of monument to Gallieni in Paris
  On 30 May 1930, the plinth of the monument to Gallieni is found partially broken. The statue representing the French colony of Indochina was damaged in four different places, including its foot. The police officer found one toenail belonging to the statue, and broken pieces of glass, which he identified as a bottle of sparkling wine. Extract from the police report (in French): « A 9 heures de service au carrefour de la rue de l’université et de l’avenue du Maréchal Gallieni. J’ai constaté que la face du socle de la statue tournée vers la direction du Champ de Mars et représentant l’Indo-Chine était détériorée en quatres [sic] endroits différents. Je n’ai trouvé que l’ongle du gros orteil du pied droit que je joins au rapport. Au pied de la statue j’ai remarqué également des éclats de verre semblant provenir d’une bouteille dit vin mousseux, ou de champagne. » After this report, the city's office contacted Jean Boucher the artist, to ask him to evaluate the damage and advise on the best way to repair the broken pieces. (source DACVP-COARC, Archives, Gallieni 2)
• 1960, Two men climb the equestrian statue of William III in Glasgow to see if its tail moves
  Two drunk men climbed the equestrian statue of William III to check if its tail could move. They were arrested, brought before a magistrate, and fined £3. It was confirmed that the tail did move.
• 1980, The Trooper statue is smuggled from Rhodesia (Zimbabwe) to South Africa
• 1987, Graffiti on monument to Gallieni in Paris
  The exact date and what was written on the monument was not recorded, we know of these graffiti thanks to a letter by Edouard Frédéric-Dupont, mayor of the 7th arrondissement in Paris (where the monument is located), to the head of Cultural Affairs in the city of Paris, chief of the monuments office. His letter mentions that the graffiti and inscriptions were quite shocking, but did not elaborate in his letter. He asked the city to clean the monument as soon as possible. Extract in French: « Plusieurs personnes m’ont signalé que le socle du monument du Maréchal Gallieni installé place Vauban était recouvert de graffiti dont des inscriptions assez choquantes » (source DACVP-COARC, Archives, Gallieni 2)
• 1987, Paint thrown on Gallieni monument in Paris
  We know of this contestation thanks to a letter Edouard Frédéric-Dupont, mayor of the 7th arrondissement in Paris (where the monument is located), wrote to the head of Cultural Affairs in the city of Paris, chief of the monuments office. His letter mentioned that the monuments to Gallieni and Fayolle (situated on the same place Vauban) had been smeared with paint and with inscriptions which he did not record. Once again, similarly to earlier that year, he asked the city to clean the monuments as soon as possible. Extract in French: the statues « ont été badigeonnées de peinture. Au moment où tant de touristes vont venir à Paris, il serait indispensable que vous puissiez faire gratter ces inscriptions d’urgence. » (source DACVP-COARC, Archives, Gallieni 2)
• 2020, Anticolonial graffiti on the monument to Gallieni in Paris
  Following the murder of George Floyd by a police officer in the United States, antiracist protests inspired by Black Lives Matter flourish in France in the Spring of 2020. On June 16, the monument to Gallieni is graffitied with blue spray paint reading "Déboulonnons le récit officiel" (Let's take down the official narrative) on the front plinth, "Dans un musée" (In a museum), and "Etat responsable" (Responsible State) on the other sides. Next to the front graffiti, a different hand wrote: "89 000 † à Madagascar, ni oubli ni pardon" (89,000 deaths in Madagascar, no forgetting nor forgiving).
• 2020, Anticolonial protest on the Gallieni monument in Paris
  On June 18, only a couple of days after the graffiti, antiracist activists climbed onto the monument to Gallieni and covered his statue with a black veil. Police came and arrested the people who had climbed on the statue. It is unclear whether the city pressed charges for "dégradation de bien public". French celebrity Vikash Dhorasoo, former soccer player and left-wing activist, was present and answered a journalist from Russia Today on a video that was published on twitter (see sources). Here is what he said: "On s'est dit après l'allocution de Macron qui avait un peu clos le débat, voilà c'est comme ça on déboulonne pas, on discute pas des noms de rue, des noms de stations de métro, et surtout on soutient les forces de police, on dit deux-trois petits mots sur le racisme... Alors voilà, nous on pense qu'il y a un vrai problème, qu'il y a des vrais combats qui se mènent, alors que le maire de Londres a déboulonné une statue, à Bristol ils ont fait la même chose, et nous on peut pas en discuter. Donc on voulait remettre le débat très vite sur la table. On doit, dans une démocratie, pouvoir en discuter : qu'est-ce qu'on met dans l'espace public ? C'est une question de justice, vraiment. Et puis aussi interpeller la maire Anne Hidalgo parce qu'elle est en campagne en ce moment, alors j'ai l'impression qu'elle est plus à inaugurer des pistes cyclables et des jardins partagés qu'à s'intéresser à ce qui se passe dans sa ville, notamment sur les violences policières. Pourquoi, pourquoi on s'attache à ces symboles du colonialisme, de l'esclavagisme ? C'est quelqu'un qui a tué 700 000 personnes je crois à Madagascar, pourquoi on peut pas en discuter, pourquoi on pourrait pas les mettre ailleurs, et puis raconter une autre histoire ? Parce que ça c'est une histoire des vainqueurs qu'on raconte à chaque fois. Moi je pense qu'on pourrait raconter autrement." Under this video tweet, reactions are mostly hostile, between justifications for the French Empire: "Encore un génocide totalement bidon que l'on met sur le dos des occidentaux. Gallieni a réprimé, éxécuté des caciques hostiles à la France mais développé les écoles, les hôpitaux, le chemin de fer sur l'île. Comme si le peuple de cette ile était plus heureux avant, et après!" ; calls for Dhorasoo to leave France: "Ces donneurs de leçons nous font chier, ça les empêche de vivre ces statues. La France a des traditions et valeurs ainsi qu une histoire. Allez voir ailleurs si le monde est meilleur." ; and inversions of colonial narratives inspired by the Great Replacement theory: "Les colons demandent à ce que les statues des français soient détruites pour être remplacées par celles de non français".
• 2020, Graffiti and paint thrown at the monument to Colbert in Paris
  On 23 June 2020, an activist from Guadeloupe, member of the Brigade Anti-Négrophobie (BAN), spray painted the words "Negrophobie d'Etat" in red, onto the plinth of Colbert's monument in front of Assemblée Nationale. He also threw red paint onto the statue's chest, and onto the document it is holding in its hands. The police, always in front of the AssembléeNationale, intervened immediately and arrested the activist on the spot. The State pressed charges for "dégradation de bien public". A video of the action and the activist's arrest was posted on BAN's Twitter account. The activist explained: “Vous voyez, les racistes sont de l’autre coté de l’Assemblée. Ça c’est une statue qui vient prôner la négrophobie, le meurtre des Noirs, le viol des Noirs, la torture des Noirs”.
• 2020, Retaliation attack on the grave of Scipio Africanus
  The attacker smashed the headstone of Africanus's grave and left a message: 'Put Colston's statue back or things will really heat up'.
• 2021, Artistic performance by Deborah de Robertis on the monument to Gallieni in Paris
  On 26 September 2021, an artistic performance by Deborah de Robertis, feminist artist, takes place on the monument to Gallieni. Six naked Mariannes, only wearing an phrygian cap, climb on the monument an pour red paint from between their legs, symbolizing blood dropping down their genitals. On Twitter, the artist elaborated on her performance: « La statue a un sexe : c’est un sexe d’homme. Le colon est un homme, le tyran est un homme, le dictateur est un homme. Ce qu’ils ont en commun est une bite : la colonisation est un viol. Caméras au front, les corps - sortant de leur statut d’objet, deviennent sujets. Les femmes violent le Pouvoir, et non l’inverse. Les Mariannes nous regardent, en femmes fontaines, éjaculent à la face du colon, jouissant de violer le pouvoir. Le renversement par l'art opère à la suite de siècles de silence, il est le résultat d’une recherche et d’une pensée conceptuelle. Le renversement n’est pas un accident de l’Histoire mais un accouchement, dans la douleur et dans le sang." The city of Paris pressed charges for "dégradation de bien public"
• 2021, Cleaning by Action Française of the monument to Gallieni in Paris
  On October 3, l’Action Française Paris, a monarchist and radical right-wing group, posts a video on Twitter showing their members cleaning the monument to Gallieni with brushes and water bottles. This method does not follow art conservator methods and recommendations, and are damaging to the monument. On Twitter, the video caption reads: "L’@actionfrancaise était une fois de plus présente pour préserver l’Héritage en nettoyant la statue du Maréchal Gallieni, souillée récemment. Face à la négation de notre patrimoine par quelques esprits confus en mal de reconnaissance : français, rejoins nos rangs !" In the video, activists explain: "En réaction face à la souillure de ce monument, érigé en l'honneur du Maréchal Gallieni, sauveur de Paris en 1914 face à l'avancée allemande, l'Action Française a pris les devants et, contrairement à la mairie, a nettoyé ce monument à la gloire de la France et de ses héritages." Radical right-wing activists thus position themselves as defendors of statues and monuments, while their defense methods are further damaging the monuments they claim to protect, and constitute a different type of "dégradation de bien public".
• 2023, Graffiti and cleaning of monument to Gallieni in Paris
  On March 21, COARC and the City of Paris commision art conservators Groupe Cherki to clean the plinth of the monument to Gallieni. Graffitis were spray painted on the plinth with anarchists slogans calling out the French government: this action took plce during months of protests against pension reform. One of the slogans calls out the monument itself, with warning triangles : « /!\ STATUE RACISTE ↑ » (source DACVP-COARC, Dossier Gallieni 2)