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statue shows visual item est exactement
personne en esclavage
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1868, "Pourquoi naître esclave ?" buste de femme réalisée par Jean-Baptiste Carpeaux Présenté au salon de 1869, ce buste exprime la douleur et la révolte contre la condition d'esclave. Il a beaucoup marqué en 1869 et ensuite. Il a en effet été reproduit en de multiples exemplaires en bronze ou plus modestement en terre cuite et en plâtre, qu’on retrouve dans de nombreux musées en France et ailleurs. Il figure par exemple dans le catalogue de la Manufacture de Sèvres en 1932.
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Horloge de Blackboy Une grande horloge d'un mètre sur deux, avec des chiffres romains dorés sur fond noir, qui intègre dans son design la caricature d'un enfant africain en blackamoor. Lorsqu'elle fonctionne, la caricature est censée faire sonner une cloche à l'heure. L'horloge a été assemblée en 1774 par John Miles, mais la création de la figure pourrait être antérieure. À l'heure actuelle, les origines exactes de la statuette ne sont pas claires. Elle présente une certaine ressemblance avec les figures de <<Black Boys>> en bois peint utilisées comme enseignes de bureaux de tabac aux XVIIIe et XIXe siècles, mais l'horloge n'était pas à l'origine installée sur un bâtiment destiné à la vente de tabac. De nombreux noms, enseignes et éléments architecturaux <<Black Boy>> existent encore dans les paysages ruraux et urbains de la Grande-Bretagne moderne. Ils sont de plus en plus souvent le théâtre de contestations sur la manière dont le racisme a été physiquement inscrit dans l'environnement, comme l'ont montré de nombreux événements survenus depuis 2020.
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Buste d'un homme en esclavage, Pau L'homme est représenté debout, les mains attachées dans le dos, la tête basculée en arrière et les yeux clos.
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Mémorial du Nèg Mawon, Sainte-Anne Le mémorial présente le mur d'un moulin, symbole de l'oppression du système de plantation, duquel sort un Marron à la jambe et aux oreilles coupées en signe de tentative de résistance et de fuite, et sur lequel sont affichés plusieurs symboles de l’esclavage et du marronnage : des chaînes renvoyant à la privation de liberté; deux Chaltounés, flambeaux, utilisés pour les déplacements nocturnes; une conque de lambi, qui permettait de communiquer avec les autres esclaves ; un Ka, tambour, qui accompagnait les esclaves dans leurs chants et leur permettait de perpétuer la musique africaine et constituait un moyen de communication décisif.
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Monument à Victor Schœlcher, Cayenne
Le monument représente Victor Schœlcher levant le bras droit vers le ciel, « montrant, à l’horizon, la liberté naissante » (discours d’inauguration du Gouverneur de Guyane) et entourant de son bras gauche, dans un geste paternaliste, les épaules d’un jeune homme noir vêtu d’un pagne, portant aux pieds des chaînes brisées. La main sur le cœur, le jeune homme regarde Schœlcher avec reconnaissance. -
Monument à Solitude et aux esclaves résistants, Bagneux.
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Monument à Victor Schœlcher, Fort-de-France
Victor Schœlcher, en redingote, entoure de son bras un enfant vêtu seulement d’un pagne, symbolisant un jeune esclave émancipé, qui, la main droite sur le cœur, porte la main gauche à sa bouche, et le regarde avec reconnaissance. Victor Schœlcher, surplombe l’enfant et, de la main gauche, lui montre le chemin de la liberté. -
Monument Nelson, Liverpool
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Statue de l'Abolition de l'Esclavage La statue reprend le modèle de la statue de la Délivrance conçue en 1914 par le sculpteur Emile Guillaume et choisie par la municipalité de Nantes en 1927 pour compléter le monument aux morts installés en 1918. Le projet reprend cette statue, bras levés au ciel pour signifier la délivrance, et l'enserre dans des chaînes symbolisant l'esclavage, dont la personne esclavisée se libère.
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Statue de Modeste Testas Al Pouessi
La statue représente une femme sortie de l’esclavage, debout, à taille humaine et hauteur de femme, installée dans une ville engagée dans le commerce de traite.