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scène de guerre
- Mémorial de la guerre des Boers (The Black Watch), Édimbourg
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Statue équestre de Frederick Roberts, Glasgow Double d'une statue érigée à Kolkata, sculptée par Harry Bates. La statue originale en Inde a été inaugurée en 1898.
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Statue équestre du Prince Noir Bien qu'il s'agisse d'une représentation d'Édouard, le Prince Noir, Historic England décrit la statue équestre comme <<presque certainement un hommage à Édouard VII>>. Bien que les origines du <<Prince noir>> en tant qu'appellation de l'ancien Édouard soient incertaines, le surnom soulève également des questions intéressantes sur les significations de la noirceur dans l'Europe du XIVe siècle, ou même sur la manière dont les idées de noirceur ont été reconfigurées à l'heure actuelle.
- Statue équestre du duc de Wellington, Glasgow
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Monument à Villebois-Mareuil Le monument est composé d’un socle portant bas-reliefs et inscriptions et d’une statue. Cette dernière représente Villebois-Mareuil, en tenue de colonel, debout et très droit, recevant un baiser d’une allégorie féminine qui porte un drapeau en mouvement dans une main et le soutient de l’autre. Le mouvement des personnages représente le moment de la mort du miliaire.
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Monument aux 3 maréchaux, Saint-Gaudens Le monument a la forme d'un mur assez large, les trois maréchaux de la première Guerre mondiale sont placés en figures de proue, face aux Pyrénées. Foch est au centre, Galliéni à sa doite et Joffre à sa gauche. Tous sont en tenue militaire, enveloppés dans un grand manteau, képi sur la tête, avec leur bâton de maréchal et une liasse de documents pour Joffre. Côté Galliéni, 4 bas-reliefs ornent le monument : - un groupe de 4 combattants vêtus à l’antique - une allégorie de la guerre, - un homme laissant femme et enfant et ramassant son glaive pour combattre - une jeune femme rassemblant autour d’elle deux enfants africain et vietnamien, un troisième jeune garçon en costume malgache est assis à ses pieds. Coté Joffre, 4 bas-reliefs également : - un groupe de 4 combattants vêtus à l’antique - une allégorie de la paix - un couple avec l’homme brisant ses fers avec une masse - Adam et Eve et le serpent.
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Colonne Nelson Ce tableau représente Nelson debout, au sommet d'un haut pilier corinthien au chapiteau élaboré. Nelson est debout, dans une posture dynamique, vêtu d'une tenue militaire du XVIIIe siècle et tenant une épée dans sa main gauche. La manche du bras amputé est glissée dans les revers de la cour. Les quatre côtés du piédestal sont décorés de quatre reliefs en bronze, créés à partir de canons français capturés et fondus. Le panneau orienté vers le sud, intitulé "La mort de Nelson", représente un soldat aux traits africains, tenant un mousquet. David Olusoga note que les observateurs contemporains ont remarqué cette figure, ses traits africains, et l'ont commentée de manière positive. Quatre lions de Barbarie en bronze ont été ajoutés à la base de la colonne bien plus tard, en 1867.
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Mémorial du deuxième bataillon du régiment royal du Sussex, Eastbourne Statue en bronze d'un officier colonial, portant l'uniforme du régiment du Bengale avant la mutinerie indienne, sur un socle en granit. Le socle est accompagné de quatre plaques de bronze. Les plaques de bronze sur les côtés sud-ouest et nord-ouest sont des reliefs picturaux de soldats en action lors des expéditions de la Montagne Noire et de Tirah. La plaque du côté sud-est dédie le mémorial au deuxième bataillon du Royal Sussex Regiment, tandis que la plaque du côté nord-ouest énumère les noms de 328 hommes morts en service entre 1882 et 1902.
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Statue de James George Smith Neill L'une des deux statues dédiées à Neill. L'autre se trouve actuellement dans les collections du musée de Madras, en Inde.
- Statue de John Nicholson, Lisburn
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Statue de Robert Clive, Westminster Cette grande statue en bronze représente Robert Clive en uniforme militaire, sur un socle massif. À la manière de l'architecture grecque classique, la structure ondulante du socle empêche le spectateur de se concentrer et attire plutôt l'attention sur le personnage principal, qui regarde au loin avec une expression sinistre. Le personnage porte des bottes bien usées, qui témoignent de son expérience de la bataille, tandis que les rayures proéminentes sur les manches indiquent la réussite et le rang. Dans une main, le personnage tient une épée cérémonielle indo-islamique courbée ou talwar, signe de la conquête de l'Inde, tandis que l'autre main serre des papiers roulés, soulignant peut-être le titre légal des possessions gagnées par l'épée. À l'avant, le socle se contente de décrire le personnage représenté comme "Clive", indiquant ainsi son éminence qui s'explique d'elle-même. En revanche, les trois autres côtés du socle présentent des frises narratives en bas-relief, illustrant les exploits militaires et politiques de Clive en Inde : à Arcot, Plassey et Allahabad. La scène d'Allahabad montre Clive recevant la concession de Diwani, appelée à tort concession du Bengale, de la part de l'empereur moghol vaincu. Dans le bas-relief de cette scène, basé sur la peinture de Benjamin West de 1818, l'empereur moghol s'efface à l'arrière-plan tandis que Clive et ses compagnons britanniques sont sculptés de manière proéminente, afin de souligner leur rôle central dans l'histoire.
- Statue du duc de Wellington, Manchester